Tristan De Witte, 43 ans, dirige un groupe d’entreprise de luminaires. Il a connu la Trinité-sur-mer dès son enfance… et le virus de la mer l’a piqué. Aujourd'hui, basé à Paris, il n’hésite pas à faire partager ce bonheur de découvrir la navigation à ses équipes.
Marcel Dutreux, 25 ans, a également été piqué par le virus, mais sur l'île d'Yeu. Il n'en a jamais vraiment guéri et est resté au bord de la mer et préside la société Eole Performance, devenue un acteur du Nautisme vendéen.
C'est sur les conseils de Marcel que Tristan achète son bateau et, dans un apéro en sortie de régate, que Marcel propose à Tristan de faire la Cap-Martinique "début des entraînements dans deux semaines !" lui annonce-t-il. Depuis ils ont couru ensemble, notamment sur la Cap 45-11, mais surtout sont devenus de très bons amis.
Un peu à la bourre pour donner toutes leurs infos à l'organisation de la course, ils se proposent d'arriver à temps pour ouvrir le bar en Martinique ! Chiche !
Les enjeux environnementaux et sociétaux sont plus que jamais au cœur des préoccupations de chacun. Cependant, le monde économique tarde à adapter son modèle à ces questions qui remettent en cause nos choix structurels des dernières décennies.
Les savoir-faire d’excellence manufacturiers incarnés par les Entreprises du Patrimoine Vivant constituent un socle essentiel au redéploiement d’une industrie locale. Cette industrie sera seule capable de subvenir à nos besoins dans le respect des enjeux environnementaux du XXI siècle qui nous imposent, à l’échelle mondiale, de produire et consommer local.
Pour la Cap-Martinique Tristant de Witte et Marcel Dutreux soutiennent ainsi l’Association Nationale des Entreprises du Patrimoine Vivant qui portent cette idée depuis sa création il y a 15 ans. Soutenir les Entreprises du Patrimoine Vivant, c’est :
- Soutenir le redéploiement des savoir-faire rare et la haute qualité de fabrication en limitant le recours à des biens à obsolescence rapide
- Soutenir l’emploi pérenne sur nos territoires
- Soutenir une économie à faible empreinte carbone en limitant les transports
Tristan De Witte, 43 ans, dirige un groupe d’entreprise de luminaires. Il a connu la Trinité-sur-mer dès son enfance… et le virus de la mer l’a piqué. Aujourd'hui, basé à Paris, il n’hésite pas à faire partager ce bonheur de découvrir la navigation à ses équipes.
Marcel Dutreux, 25 ans, a également été piqué par le virus, mais sur l'île d'Yeu. Il n'en a jamais vraiment guéri et est resté au bord de la mer et préside la société Eole Performance, devenue un acteur du Nautisme vendéen.
C'est sur les conseils de Marcel que Tristan achète son bateau et, dans un apéro en sortie de régate, que Marcel propose à Tristan de faire la Cap-Martinique "début des entraînements dans deux semaines !" lui annonce-t-il. Depuis ils ont couru ensemble, notamment sur la Cap 45-11, mais surtout sont devenus de très bons amis.
Un peu à la bourre pour donner toutes leurs infos à l'organisation de la course, ils se proposent d'arriver à temps pour ouvrir le bar en Martinique ! Chiche !
Les enjeux environnementaux et sociétaux sont plus que jamais au cœur des préoccupations de chacun. Cependant, le monde économique tarde à adapter son modèle à ces questions qui remettent en cause nos choix structurels des dernières décennies.
Les savoir-faire d’excellence manufacturiers incarnés par les Entreprises du Patrimoine Vivant constituent un socle essentiel au redéploiement d’une industrie locale. Cette industrie sera seule capable de subvenir à nos besoins dans le respect des enjeux environnementaux du XXI siècle qui nous imposent, à l’échelle mondiale, de produire et consommer local.
Pour la Cap-Martinique Tristant de Witte et Marcel Dutreux soutiennent ainsi l’Association Nationale des Entreprises du Patrimoine Vivant qui portent cette idée depuis sa création il y a 15 ans. Soutenir les Entreprises du Patrimoine Vivant, c’est :
- Soutenir le redéploiement des savoir-faire rare et la haute qualité de fabrication en limitant le recours à des biens à obsolescence rapide
- Soutenir l’emploi pérenne sur nos territoires
- Soutenir une économie à faible empreinte carbone en limitant les transports